• 4 nouveaux projets sur les rails

    Bonne nouvelle. La région Grand Est a retenu les 4 dossiers présentés par Apicool dans le cadre de l’appel à projets Jeunes publics.
    Ainsi, sous réserve de l’obtention du financement complémentaire privé, pour 2018/2019 sont programmés :
    – C’est pas sorcier… c’est tout naturel : un projet d’aménagement biodiversité et récréation sur un terrain communal à Fixem avec l’équipe communale et le groupe scolaire
    – Apischool 3ème Round. Maintenant, il faut en parler….
    – Dans ma peau : Suite du projet de film. On passe au montage et aux derniers tutos.
    – Ecoles VIP : 5 classes de CM1 sur la région pourront s’engager dans la mise en place d’îlots fleuris dédiés aux pollinisateurs. Appel à candidatures d’ici peu.

     

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  • Abeilles sauvages et dépendances vertes routières

     

     

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  • SAPOLL : Atlas préliminaire des bourdons

    Un premier bilan des espèces de Bourdons

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  • Abeilles : ne pas laisser fondre la partie cachée de l’iceberg

    Apicool vient de déposer un projet dans le cadre de l’appel à projets « Un projet pour ma planète  » pour faire connaître et préserver les abeilles solitaires terricoles en région Grand Est. Lien vers le projet en cliquant sur la photo.

    Une collète Lapin (Colletes cunicularius). Serait-elle dans votre jardin ?

     

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  • Rencontre avec un passionné de bourdons

    Direction la frontière Luxembourg-Belgique. Juin 2016. Nous partons rencontrer Jean Habay, un amoureux des abeilles.

    Passionné d’insectes depuis son enfance, Jean a du se détourner des abeilles de la ruche pour des raisons d’allergie. Mais pas question de vivre sans les abeilles. Il a donc plongé dans le monde des bourdons qui font également partie du groupe des Apidés*. Cela fait quelques années maintenant qu’il les observe et qu’il développe des colonies de manière tout à fait naturelles non pas pour les vendre mais pour les étudier et mieux les comprendre. Ses ruches, ses belles caisses à vin, de vieux meubles… tout est recyclé en boites à bourdons.

    La chose n’est pas si aisée d’ailleurs. Il nous fait part de quelques unes de ses observations pratiques. Impossible par exemple de mettre une reine d’une espèce sur les œufs d’une autre espèce. Dès la naissance des ouvrières, la reine sera non reconnue et mise à mort. Si on souhaite diviser un nid pour le multiplier, il faut le faire à un certain stade.

    Les nids des bourdons terrestres sont beaucoup plus populeux. Ils commencent plus tôt en saison et profitent peut être de la flore plus abondante du printemps. Les bourdons des champs ne donnent que des petites colonies.

    Jean ramasse également tous les bourdons morts qu’il trouve. Ceci lui permet d’apprendre à les identifier et d’avoir une collection d’espèces à montrer. Il aime à partager sa passion et ses découvertes et n’hésite pas à se rendre dans des écoles pour ce faire. Jean a également accepté de participer à un nos projets (pour juin 2018).

    Dans son jardin, il y a forcément beaucoup de fleurs. Il y a aussi un hamac. Le hamac est à coté des nids de bourdons. C’est là qu’il fait la sieste.

     

    *Les abeilles appartiennent à la super famille des Apoides. Dans cette super famille, il y a la famille des Apidés dans laquelle on retrouve notamment le genre Apis – l’abeille de la ruche- et le genre Bombus – les bourdons.

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